SAPRO 2011

Paul Obambi plaide pour un pays riche avec des congolais heureux et non un pays riche avec des citoyens pauvres

 

 

 

Dans une interview exclusive accordée dans la capitale congolaise le 31 décembre 2011, à notre blog, Paul Obambi réagissant sur le message de vœu du chef de l’état Denis Sassou N’guesso, plaide pour un Congo riche avec des citoyens épanouis et riches et non l’inverse. Pour l’homme d’affaires cette traditionnelle adresse du chef de l’état est un véritable condensé au plan économique, au plan social mais surtout au plan politique. Retour sur ce commentaire.

 

Réitérant ses vœux au chef de l’état Paul Obambi a émis le voeu afin que l’année 2012 soit plus souriante que l’année 2011. Comme la quasi-totalité de ses compatriotes, il attend avec patience la concrétisation de toutes ces mesures annoncées en 2012.

 

En ce qui concerne le volet politique, Paul Obambi estime qu’il est crucial de consolider d’abord par la paix sans laquelle rien ne peut se faire. Saluant quelques avancées politiques notamment la tenue des sénatoriales et, récemment la concertation politique d’Ewo (département de la Cuvette Ouest) à laquelle des figures de proue de l’opposition ont participé, le PDG du groupe Sapro émet toutefois quelques réserves quant à l’hypocrisie de certains acteurs politiques qui peuvent clignoter sans prévenir comme ce fut le cas en 1997 où des réunions ont été organisées alors que le lendemain, le pays basculait dans la barbarie. Aussi, attire t-il l’attention de la classe politique congolaise à préserver cette paix chèrement acquise et à tirer les leçons du passé. Car s’il n’ y avait cette guerre on devrait pas vivre certainement ces déboires actuels.

 

La revalorisation du SMIG de 10%, des allocations familiales qui passent de 2000 à 5000 francs CFA, le versement de deux trimestres d’arriérés aux pensionnés de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) sont des mesures importantes  saluées par Paul Obambi. Quant à la valorisation de 50% de la bourse des étudiants, Paul Obambi souhaite qu’en 2012 qu’on aille encore plus loin dans ce processus d’augmentation. Pour lui 50% c’est déjà bien mais c’est  encore insignifiant car la construction d’un pays passe par la préparation de son élite, donc de sa jeunesse.

 

Au plan économique de grandes mesures ont été annoncées reconnaît-il. Mais celle qui n’a pas été dite de manière explicite mais tout aussi important c’est le renforcement du dialogue privé public. C’est ce dialogue qui permettra au secteur privé pense t-il d’apporter sa contribution de manière explicite dans l’ajustement des politiques économique, social et culturel du pays. Si l’état a consenti de gros investissements pour doter le pays des infrastructures viables, ces dernières représentent un couteau à double tranchant de l’avis du PDG du groupe Sapro qui se demande comment tirer profit au plan économique, au plan de l’entreprise bref au niveau du secteur privé ? Il est donc temps que le secteur privé congolais s’organise afin de tirer profit des différentes infrastructures réalisées. Les chefs d’entreprises ont la mission d’approfondir et de concrétiser la vision du chef de l’état pour conduire le pays vers l’émergence.

 

                                                           

 

Le Congo est sur la bonne voie, tous les indicateurs macroéconomiques sont au vert, l’avis des bailleurs des fonds qui sont souvent très très sévères  le disent ; les observateurs le disent. Avec un taux de croissance de 8% , il est inadmissible que certains congolais puissent vivre encore en dessous du seuil de pauvreté pense Paul Obambi pour qui l’idéal serait d’avoir un pays riche avec des citoyens heureux et non un pays riches avec des habitants pauvres. e la pauvreté également la présence de la pauvreté  des congolais qui vivent en dessous du seuil de la pauvreté ce qui est inadmissible aujourd’hui étudiants qui sont sur place et à l’extérieur. L’idéal c’est d’avoir un pays riche avec  des congolais heureux  et non un pays riche avec des citoyens malheureux

 

 Il a évoqué également le renforcement dans la gouvernance dans divers secteurs comme l’agriculture, la santé, l’énergie afin de conduire notre pays vers l’émergence.

 

 Le secteur privé a retenu l’attention du chef de l’état qui plaide pour le renforcement  de ses capacités. Il a aussi parlé de la multiplication des PME et PMI.  Les Je souhaite q’il est temps que les congolais s’organisent davantage pour rentabiliser ce que l’état a mis à notre disposition. Les infrastructures que nous avons construit représente un couteau a double tranchant l’état a fait bon usage des recettes budgétaires en construisant ces infrastructures mais qui aura le bénéfice direct au plan économique au plan de l’entreprise au plan du secteur privé. 

 Evoquer une croissance alors que la majorité de la population vit en dessous du seuil de la pauvreté est inadmissible de nos jours.Ce contraste

 

  t aspect homm si on avait evité la guerre du 5 juin on serait pas des les déboires actuels. C’est ce dialogue qui permettra C’est le renforcement du dialogue entre le secteur public-privé. Avec un taux de croissance à 8% nous avons encore une présence effective de la pauvreté également la présence de la pauvreté  des congolais qui vivent en dessous du seuil de la pauvreté ce qui est inadmissible aujourd’hui.. Processus qui est évolutif  s’améliore pour les pour conduire notre pays vers l’émergence des congolais heureux pas un pas riches avec des citoyens pauvres.



21/02/2012
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